Saturday, June 26, 2010

Dubaïgate: l'analyse de Gordon Thomas, spécialiste des...

MANIFESTATION POUR ISRAEL GILAD ET LA DEMOCRATIE PARIS TROCADERO

Ce 22 juins nous étions 15000 devant le parvis des droits de l'homme au Trocadéro à Paris, pour dire à Guilad, à ses parents, que nous pensons toujours autant trés fort a eux, 4 ans, 4 longues années de souffrances d'un jeune homme franco israelien kidnappé par le Hamas. Honte aux médias français d'avoir délibérement passé sous silence que 15000 citoyens français ainsi qu'une cinquantaine d'élus de la République Française, des artistes, des intellectuels ont appelés de tout coeur a ce que Guilad soit rendu enfin à ses parents... c'est vrai ça fait pas le buzz médiatique nous n'avons pas brûler des voitures, casser des vitrines de magasins, frapper les forces de l'ordre... mais bon c'est trop risqué le Conseil de Sécurité de l'ONU se serait réunis d'urgence pour voté une énième résolution contre Israel...

Tuesday, June 08, 2010

La mémoire courte et sélèctive du monde arabe...

Mur crée par les jordaniens en 1947 pour séparer les juifs du reste de la population de jerusalem, détruit par les israeliens en 1967... et aprés ils accuse Israel d'Etat raciste et saisisse la Cour Pénale Internationale pour dénoncer le mur de sécurité d'Israel qu'ils appellent " le mur de la honte "

En 1947 les armées arabes instaure un blocus ignoble sur la partie juive de Jerusalem, ou vivent plus de 100 000 juifs, ils coupent l'eau, l'éléctricité, interdise tout acheminement d'aide humanitaire et médical, 2500 juifs meurent de faim et de maladies, et attaques de façons meurtrières les convois humanitaires juifs, plus de 450 juifs tués.... et aujourd'hui ils dénoncent un pseudo blocus inhumain sur Gaza, alors qu'ils recoivent matin midi et soir des tonnes d'aides humanitaires et des milliars de dollars d'aides internationale, sans oublier les milliers de tunnels creusés pour faire acheminer leurs armes en provenance d'Iran, de Syrie, du Hezbollah, de Corée du nord....

Islam et nazisme 1/6

Islam et nazisme 2/6

Islam et nazisme 3/6

Islam et nazisme 4/6

Islam et nazisme 5/6

Islam et nazisme 6/6


Un mythse s’effondre: la Turquie n’a jamais sauvée de Juifs sous les Nazis

Par Ayse Hür – Historienne spécialisée dans l’étude des politiques turques à l’égard des minorités au XXe siècle.

L’un des mythes nationaux les plus populaires, chez nous, en Turquie, repose sur la croyance selon laquelle des diplomates turcs auraient sauvé des milliers de Juifs condamnés à une mort certaine pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce qui permet à bon nombre de Turcs de s’enorgueillir de la leçon d’humanité que leur pays aurait ainsi donnée au monde. Mais cela s’est-il vraiment passé ainsi ?

Il faut d’abord savoir que les premières manifestations de sympathie à l’égard du nazisme apparaissent en Turquie dès 1933, c’est-à-dire dès que les nazis arrivent au pouvoir en Allemagne. Mais c’est véritablement à partir de 1937 que la propagande allemande prend son essor, avec l’ouverture d’un “office allemand d’information” à Istanbul, dans le quartier de Cagaloglu. Les articles et les caricatures visant les minorités – et en particuliers les Juifs – se multiplient alors dans la presse turque.

C’est aussi cette année-là que le gouvernement turc demande à ses représentations à l’étranger de ne pas octroyer de visas à des Juifs, sans que cette directive ait d’ailleurs un caractère contraignant. En août 1938, le décret n° 2/9498 stipule : “Les Juifs qui, quelle que soit aujourd’hui leur religion, sont soumis à des pressions concernant leurs droits de résidence et de voyage dans les pays dont ils sont ressortissants seront désormais interdits d’entrée et de résidence en Turquie.”

Cette politique s’est illustrée concrètement le 8 août 1939, lorsque le Parita – un navire emmenant en Palestine un groupe de 860 réfugiés juifs venus de plusieurs régions d’Europe – fut obligé, après diverses avaries, d’accoster dans le port d’Izmir. Bien que les réfugiés aient hurlé : “Tuez-nous si vous voulez, mais ne nous renvoyez pas d’où nous venons”, le Parita fut chassé sans ménagement du port d’Izmir par deux bateaux de la police maritime turque. Le lendemain, le quotidien turc Ulus titrait en une : “Ces bons à rien de Juifs ont quitté Izmir”.



Le Parita, en 1939, déversant un flots d'immigrants juifs en Terre Sainte
Il faut aussi rappeler que la signature du traité d’amitié turco-allemand, le 18 juin 1941, fut accueillie très favorablement dans le pays. Quand l’armée allemande attaqua l’Union soviétique, le quotidien officiel Cumhuriyet célébra l’événement quatre jours plus tard en titrant : “La nouvelle croisade !” Le rédacteur en chef du journal, Yunus Nadi, montra si franchement sa sympathie pour le régime hitlérien que certains le surnommèrent “Yunus Nazi”. Faik Ahmet Barutçu, député de Trabzon, rend bien compte dans ses Mémoires de l’ambiance qui régnait alors en Turquie : “La guerre germano-soviétique suscita dans le pays une véritable ambiance de fête. Tout le monde se congratulait. Les députés de l’As*semblée nationale turque se félicitaient de cette situation.”

Pendant toutes les années de guerre, la Turquie – qui est restée neutre jusqu’à fin février 1945 – a constitué l’un des rares territoires européens, avec l’Espagne, où les Juifs pouvaient espérer échapper au nazisme.

Mais il est rapidement apparu que cette porte de sortie n’était pas la plus sûre. L’épisode du Salvador l’a très vite démontré. Cette embarcation, qui avait été conçue pour transporter un maximum de 40 passagers mais qui transportait 342 Juifs fuyant une Roumanie marquée par d’effroyables massacres, arriva à Istanbul le 12 décembre 1940. Il était clair que ce cercueil flottant n’était pas en mesure d’aller beaucoup plus loin. Il n’en fut pas moins forcé par les autorités turques de poursuivre sa route. Les conséquences d’une telle décision ne se sont pas fait attendre : pas moins de 219 corps furent repêchés le lendemain au large de Silivri [à une soixantaine de kilomètres à l’ouest d’Istanbul], où le bateau avait été pris dans une violente tempête. Les morts furent enterrés au cimetière juif de Silivri. Et 63 des 123 rescapés furent expulsés vers la Bulgarie, tandis que les autres furent embarqués à bord du Darien II pour rejoindre la Palestine.

“Tuez-nous si vous voulez, mais ne nous renvoyez pas”

Après cette tragédie, la Turquie adopta, le 12 février 1941, un décret autorisant et organisant le passage de réfugiés par son territoire. Mais le texte limitait le nombre de réfugiés en provenance de Hongrie, de Roumanie et de Bulgarie à 4 500 personnes, au rythme maximal de 60 par semaine. Il fallait en outre satisfaire à toute une série de conditions pour pouvoir prétendre au statut de réfugié : avoir au préalable obtenu un “visa d’entrée pour la Palestine datant d’avant le début du conflit”, détenir un “visa de transit pour la Syrie”, ou “avoir suffisamment d’argent”. Il faut enfin préciser que ces “facilités” n’ont été ouvertes que pour une seule année.

Dans le droit fil de cette politique, les citoyens turcs juifs adultes furent forcés de faire leur service militaire dans des unités particulières, où “par précaution” on ne leur confiait pas d’arme et où ils devaient effectuer des travaux pénibles, selon le modèle qui fut appliqué aux Japonais des Etats-Unis internés à la même époque parce que considérés comme une “cinquième colonne”. Ces mêmes Turcs juifs furent ensuite soumis, à partir de 1942, à un “impôt sur la fortune”. Ceux qui refusèrent de payer cet impôt furent envoyés dans des camps de travail à Askale [nord-est de l’Anatolie].

Un nouvel incident marquant eut lieu le 12 décembre 1941 : le Struma, un navire usé et en fin de vie, tomba en panne dans le Bosphore, à proximité d’Istanbul. Il était parti du port roumain de Constanza, sur la mer Noire, avec 769 réfugiés juifs à son bord. Répondant à ses appels de détresse, des bateaux turcs remorquèrent trois jours plus tard le vieux navire jusqu’à Sarayburnu, au cœur d’Istanbul. Le moteur fut enlevé pour être réparé, mais, hormis des officiels turcs, personne ne fut autorisé à monter à bord. Les réfugiés du Struma furent confinés à bord, car les autorités turques étaient persuadées que leur véritable intention n’était pas de se rendre en Palestine mais de s’installer à Istanbul.

Simon Brod et Rifat Karako, qui comptaient parmi les personnalités les plus en vue de la communauté juive d’Istanbul, durent attendre dix jours pour être autorisés à accéder au Struma. Ce n’est qu’à partir de ce moment que fut distribuée aux passagers de la nourriture chaude offerte grâce aux 10 000 dollars que le Comité juif américain avait envoyés à cet effet au grand rabbinat d’Istanbul. La situation était bloquée : le capitaine du navire souhaitait débarquer tous les passagers et repartir en Bulgarie, tandis que les autorités turques voulaient surtout se débarrasser de ces réfugiés juifs.

Après soixante-trois jours d’une terrible attente, les autorités britanniques consentirent finalement à octroyer un titre de voyage à 28 enfants âgés de 11 à 16 ans. La Turquie, quant à elle, n’infléchit pas sa position et rejeta la proposition britannique. Une semaine plus tard, le navire reçut l’ordre de lever l’ancre et de partir en direction de la mer Noire. Mis au courant de cette décision, les passagers du Struma pendirent des deux côtés du bateau de grands draps où étaient écrits (en grandes lettres et en français) “Immigrants juifs”. Ils hissèrent également un drapeau blanc sur lequel était écrit : “Sauvez-nous”. Environ 200 policiers turcs prirent alors d’assaut le Struma et obligèrent – à coups de pied et à coups de poing – les réfugiés à rester dans les cales. L’ancre fut levée et le Struma remorqué vers la mer Noire. Le navire fut abandonné à son triste sort, sans moteur, sans carburant, sans nourriture et sans eau potable.

Le 24 février 1942, à 2 heures du matin, il fut coulé par un sous-marin soviétique. Lorsque des canots de sauvetage arrivèrent sur le lieu du naufrage, il ne restait plus des passagers que quatre corps qui flottaient. David Stoliar, un jeune homme âgé alors de 19 ans, fut le seul survivant de cette tragédie. Après avoir reçu des soins dans un hôpital militaire turc, Stoliar fut emprisonné dans une cellule de la direction de la police turque à Istanbul et interrogé pendant deux semaines. Lorsqu’il demanda ce qu’on lui reprochait, on lui répondit qu’il était “entré en Turquie sans visa”. Il fut finalement remis en liberté et Simon Brod, qui l’avait accueilli, lui expliqua que c’était un miracle d’avoir survécu à ce naufrage, mais qu’en réalité le véritable miracle, c’était qu’il soit ressorti vivant des griffes des autorités officielles turques alors qu’il était l’unique témoin de ce drame…

Le gouvernement turc ne s’exprima qu’une seule fois sur la tragédie du Struma et ce fut pour dire que la Turquie n’avait “aucune responsabilité dans cette catastrophe” et que la seule chose qu’elle avait faite avait été d’“empêcher des individus de pénétrer illégalement sur son territoire” !

La police turque fit alors savoir à la communauté juive d’Istanbul qu’elle souhaitait que “cette question ne soit plus abordée”. Ce qui fut fait. C’est ainsi que se clôtura l’épisode dramatique du Struma.

La Turquie maintint par la suite une politique très sévère à l’égard des réfugiés. En mai 1943, 20 000 Juifs de Bulgarie qui demandaient à pouvoir transiter par la Turquie pour se rendre en Palestine se virent opposer un refus de la part du gouvernement turc, qui déclara “ne pas pouvoir faire face aux problèmes qu’une telle situation pourrait engendrer”. Lorsqu’une demande identique émana de Juifs grecs, la Grande-Bretagne proposa la création d’un centre d’accueil pour ces réfugiés en Turquie, mais les autorités turques refusèrent.

Dans le contexte de cette politique, les diplomates turcs de l’époque n’avaient guère de latitude pour faire preuve d’héroïsme humanitaire. S’il est vrai que certains d’entre eux – et notamment Selahattin Ülkümen [consul de Turquie à Rhodes, qui en 1944 a sauvé des Juifs de la déportation et a par la suite été élevé au rang de “juste”] – ont commis des actes de bravoure, des doutes importants demeurent concernant l’héroïsme d’autres diplomates turcs, tels que Behiç Erkin et Necdet Kent [père de Muhtar Kent, le nouveau directeur mondial de Coca-Cola].

L’historienne et turcologue allemande Corrina Guttstadt a eu l’occasion d’aborder ce sujet dans un article récemment publié dans la revue d’histoire sociale Toplumsal Tarih.

Plaçant les Juifs apatrides et les Juifs polonais au plus bas de leur échelle de valeur, les nazis les ont envoyés en priorité dans les camps de concentration. Les Juifs citoyens de pays neutres tels que la Turquie ont par contre, en général, pu échapper aux arrestations et à la déportation.

Au moins jusqu’en 1943, un document attestant de la citoyenneté turque pouvait ainsi constituer une sorte de bouée de sauvetage. Pour autant, la version selon laquelle Behiç Erkin, en poste à Paris et ensuite à Vichy, aurait sauvé 20 000 Juifs en distribuant des documents d’identité turque relève de la fable. Ces documents de routine étaient distribués par les consulats turcs, en échange du passeport, aux citoyens turcs résidant à l’étranger dans le but de les contrôler. Les Juifs, qui avaient beaucoup de mal à les obtenir, étaient en fait obligés de se les procurer au marché noir.

Entre 1941 et 1944, la Turquie, plutôt que d’accueillir de nouveaux citoyens, a surtout procédé à des annulations de citoyenneté pour 3 500 citoyens turcs vivant à l’étranger au prétexte qu’“ils [n’avaient] pas participé à la guerre d’indépendance” [1919-1922] ou qu’“ils [n’avaient] plus pris contact avec un consulat turc depuis cinq ans”. Or il apparaît que l’écrasante majorité des personnes concernées étaient juives. Le 17 juin 1942, c’est-à-dire lorsque le diplomate Behiç Erkin était en poste en France, la police française chargée des rafles de Juifs s’adressa aux responsables nazis pour savoir comment elle devait traiter les 150 Juifs turcs internés dans le camp de Drancy, “qui [attendaient] toujours de se voir reconnaître la citoyenneté turque par le consulat de Turquie”. Les autorités consulaires turques répondirent que “ces individus [n’étaient] pas des citoyens turcs”, ce qui les condamna à être déportés vers les camps d’extermination ! En février 1943, les autorités consulaires turques en France n’ont reconnu la citoyenneté turque qu’à 631 Juifs turcs sur une liste de 3 036 noms fournie par les autorités allemandes et n’ont octroyé in fine un visa d’entrée pour la Turquie qu’à 114 d’entre eux. Même les Allemands furent surpris par une telle attitude. Bref, Behiç Erkin n’a pas sauvé, comme on le prétend, 20 000 Juifs, mais seulement 114.

Quant au deuxième Schindler turc, Necdet Kent, qui a prétendu avoir sauvé 80 Juifs turcs sur le point d’être embarqués dans des trains par la Gestapo à la gare Saint-Charles de Marseille, son récit suscite bon nombre d’interrogations. Necdet Kent ne donne ni noms ni dates. Il prétend avoir reçu du courrier de Juifs qu’il aurait réussi à sauver, mais il n’a jamais été en mesure de citer leurs noms, au motif qu’il aurait égaré les lettres. Quant à Sidi Isçan, qui aurait également participé à ce sauvetage en tant qu’adjoint de Kent, il n’a jamais confirmé la réalité des faits. [Il est aujourd’hui décédé.]

Serge Klarsfeld a prouvé par ses travaux qu’aucune déportation de Juifs n’avait été organisée depuis la gare Saint-Charles de Marseille. Les responsables de Yad Vashem, le musée de l’Holocauste de Jérusalem, ont expliqué à l’historienne Corrina Guttstadt que cela faisait des années que le ministère des Affaires étrangères turc faisait des démarches pour que la médaille de “juste parmi les nations” soit donnée à Necdet Kent [décédé en 2002], mais que cela n’était pas possible dès lors qu’il n’y avait aucun document qui témoigne des faits d’héroïsme qui lui sont attribués.

On le voit, la politique de “neutralité active” de la Turquie fut indéniablement entachée par la sympathie affichée par Ankara à l’égard du nazisme. Contrairement à ce que l’on a souvent prétendu, la Turquie n’a pas sauvé des milliers de Juifs, mais a contribué, par sa politique très restrictive à l’égard des réfugiés, à ce que des milliers de Juifs périssent. Dans la mesure où bon nombre de pays européens ont fait preuve de la même attitude à cette époque, il n’y a sans doute pas de raison d’en éprouver plus de honte qu’eux. Mais tirons les leçons de l’Histoire. Et, surtout, n’inventons pas de faux héros et de fausses histoires pour nier notre responsabilité dans les souffrances des victimes.

Ayse Hür – Historienne spécialisée dans l’étude des politiques turques à l’égard des minorités au XXe siècle.

Friday, April 23, 2010

Dubai, Mossad et les "leçons" de la France





















Mon article avait était publié dans Actualité J. du 25 février 2010.

Lors de l’opération « Plomb Durci » à Gaza le Président français N. Sarkozy avait affirmé que la riposte d’Israël aux tirs de roquettes du Hamas étaient disproportionnée, lors d’une visite d’état en Syrie le Premier Ministre F. Fillon à dénonçait l’assassinat a Dubaï d’un terroriste palestinien du Hamas et agent de liaison militaire entre l’Iran et le Hamas, par un commando supposé du Mossad en affirmant « L'assassinat n'est pas un mode d'action en matière de relations internationales... Tous les assassinats, d'où qu'ils viennent, quels que soient ceux qui les commanditent doivent être condamnés „. Les Propos du Premier Ministre sont inacceptables et sont une gifle aux victimes françaises tuées par le Hamas, des propos d’autant plus tenus en Syrie qui continue à apporter un soutien au terrorisme international. Les responsables politiques français viennent sans cesse aux dîners du Crif nous dire qu’ils ne transigeront jamais avec la sécurité d’Israël mais quand Israël assure sa sécurité ils sont les premiers a condamner Israël quoi qu’elle fasse. La France en 1995, après la vague d’attentat du GIA, à elle aussi pas mis de gant pour assassiner en pleine rue le terroriste Khaled Kelkal filmé par une équipe de France 2 ou ont pouvait entendre les gendarmes dire „ finis-le ! Finis-le“. En matière de lutte anti-terroriste la fin justifiera toujours les moyens.

Le néo-colonialisme des pays arabes.


Mon article à était publié dans Actualité J. du jeudi 22 avril 2010.

A l’heure ou la communauté internationale appuyée par les pays arabo-musulmans et leur alliés pseudo écolo-gauchistes, accuse Israël de coloniser Jérusalem et les « territoires palestiniens », d’avoir chassé des centaines de milliers de palestiniens, de s’être approprié leurs ressources en eau et leurs terres, d’exploiter à très bas coût les quelques palestiniens qui ont encore la possibilité de travailler en Israël, la communauté internationale, les organisations internationales comme l’ONU et les ONG passent sous silence que ces même pays arabes pratiquent depuis plus de trois ans un néo-colonialisme aux conséquences humanitaires et géopolitiques catastrophiques.

En effet depuis plus de trois ans, l’Arabie Saoudite, le Qatar, les Emirats arabes unis, l’Egypte, la Libye, la Jordanie, le Koweït et Bahreïn ont achetés plus de 3,4 millions d’hectare de terres agricoles ( a titre de comparaison Israël fait 2 millions d’hectare ) à des pays africains pauvres, en leur faisant miroiter des modernisations d’infrastructures qui ne voient jamais le jour, du pétrole prix coûtant, des millions de dollars en pots de vin à leurs dirigeants.

Ces pays arabes prétendent que c’est pour répondre aux besoins alimentaires de leurs populations mais en fait il s’agit d’un colonialisme spéculatif, ces pays arabes investissent en fait dans les bio-carburants.

Des centaines de milliers d’africains ont étaient chassés par leurs gouvernements de leurs terres et n’ont d’autres choix que de travailler pour moins de 17€ par mois pour ces mêmes pays arabes qui les ont chassés de leurs terres, ces millions d’hectares de terres agricoles passés sous contrôle indirect des pays arabes en question, sont autant d’hectares de terres agricoles pouvant subvenir prioritairement aux besoins alimentaires criants de ces pays africains sous développés.

Les conséquences humanitaires seront catastrophiques d’ici quelques années. Ou sont donc les verts, le parti communiste, le NPA si prompt à critiquer l’impérialisme américain et la colonisation israélienne, ou le capitalisme et les spéculations financières.

Il serait fort utile que nos dirigeants communautaires, nos médias s’intéressent de prés à ce néo-colonialisme arabo-musulman et interpelle nos responsables politiques et l’opinion publique française afin de contrebalancer la propagande pro-palestinienne sur la centralité du problème de la « colonisation » israélienne qui n’est en fait que l’arbre qui cache la forêt.

Le lendemain de la publication de mon article et bien entendu indépendament de cela, le journal Le Monde s'est intéressé à ce sujet, sans pour autant, dénoncer ouvertement les pays concernés. ( http://www.lemonde.fr/planete/article/2010/04/22/la-course-aux-terres-arables-devient-preoccupante_1341086_3244.html )

Tuesday, August 18, 2009

" Iron Dome " le Bouclier Anti Missile d'Israel en avant premiere au Bourget 2009



Photos prises lors de la visite du stand d'Israel.
Empêcher la chute de roquettes sur des objectifs israéliens : tel est la volonté affichée par l’Etat hébreu. En effet, depuis le déclenchement de la seconde Intifada, ce sont plus de 4.000 projectiles de conception artisanale (les Qassam) qui ont été tirés depuis la bande de Gaza vers les villes de Sderot et d’Ashkelon.
Lors du conflit de 2006 contre le Hezbollah, la milice chiite libanaise, environ 4.000 roquettes katioucha se sont abattues sur le nord d’Israël. Et depuis la fin des hostilités, il est estimé que l’arsenal de cette faction a triplé de volume.
En avril dernier, le ministère israélien de la Défense a annoncé son intention d’acquérir la version terrestre du système d’interception de roquettes Vulcan-Phalanx (C-RAM), conçu par la société américaine Raytheon et dont le prix unitaire est de 25 millions dollars. Doté d’un radar et d’un canon Vulcan de 20 mm capable de tirer 4.000 coups à la minute, le C-RAM a déjoué plus d’une centaine d’attaques en Irak et en Afghanistan.
Cependant, en complément du C-RAM que compte acheter Israël, la société Rafael Advanced Defence System est en train de développer une autre solution. Il s’agit du programme Iron Dome ou encore « Kipat Barzel » (couverture de fer). Ce système a l’avantage d’être mobile et devrait être en mesure de détecter des roquettes et des obus de 155 mm en temps réel, de prévoir leur trajectoire et de déterminer ainsi l’endroit où ils vont tomber. Si la zone visée est peuplée, alors un missile intercepteur ira détruire le projectile.
Le 15 juillet dernier, le dispositif Iron Dome a passé avec succès des essais en conditions réelles. « C’était la première fois que l’on testait le système Iron Dome avec pour objectif un résultat métal contre métal » a confié à l’agence Reuters une source anonyme au sein du ministère de la Défense israélienne. »
La première unité équipée de ce système devrait être opérationnelle dès 2010. Il est prévu qu’elle soit installée soit le long de la frontière avec le Liban, soit en bordure de la bande de Gaza, ce qui devrait limiter l’éventualité d’une nouvelle action militaire d’envergure contre le Hamas sur le territoire palestinien, afin de détruire les arsenaux de roquettes et de dissuader les tirs en direction du territoire israélien, comme cela a été le cas avec l’opération Plomb Durci conduite à la fin de l’année 2008.










































Thursday, July 02, 2009

Gilad Shalit Prieres et Espoir




Gilad Shalit Prieres et Espoir
Vidéo envoyée par 613camp


Gilad Shalit Prieres et Espoir
http://www.613camp.com/


Mon intervention RMC pour sensibiliser l'opinion publique sur le sort de guilad Shalit :


http://panel.archive-host.com/lecteur-sik.php?url=http://sd-1.archive-host.com/membres/up/36451924141015147/20080303_gg12h_rmc.mp3



Le phénomène Avigdor Lieberman

Le phénomène Avigdor Lieberman
Vidéo envoyée par france24

NEWS F24: À l'issue des législatives, le parti nationaliste Yisrael Beiteinu pourrait devenir la troisième force politique du pays. Au grand dam des dirigeants israéliens qui n'hésitent pas à qualifier son leader de "fasciste".

Tuesday, June 30, 2009

Sarkozy un "ami d'Israel" ?


Publication de mon article dans Actualité Juive du 02 juillet 2009.
D’après la seconde chaîne de télévision israélienne, relayée également par la presse israélienne, le Président N. Sarkozy aurait lors de la visite de B. Netanyahu insisté pour qu’Avigdor Lieberman soit démis de ses fonctions, allant même jusqu'à le comparer à J.M. Le Pen, cette ingérence diplomatique flagrante est inadmissible et cette comparaison est choquante et intolérable. Alors que nous tous, membre de la communauté juive nous luttons chaque jour à notre façon contre la désinformation dont souffre Israël, voilà que celui qui se présente comme un ami sincère d’Israël adopte le même discours démagogue que les organisations pro-palestiniennes et anti-sionistes. Nous avons tous en mémoire certains propos du Président N. Sarkozy comme « nettoyer les cités au Karcher », « la France on l’aime ou on la quitte », « l’Africain n’est pas assez rentrer dans l’Histoire » ou bien la création du ministère de « l’identité nationale », les test ADN pour le regroupement familial… et aujourd’hui la question du port de la burqa, autant de propos qui ont suscité une grande indignation en France mais aussi à l’étranger, doit on rappelé qu’il doit en grande partie son élection présidentielle grâce aux votes en sa faveur des électeurs du Front National ? La démocratie israelienne malgrè les affres du conflit israelo-palestinien démontre qu'elle sait mieux que certains pays resister à la tentation populiste.
Le 11 février 2009 sur les ondes de RMC, j'ai eu l'oportunité à l'ocasion des résultats des éléctions en Israel, d'évoquer le cas d'Avigdor Lieberman, intervention vers 13"52 : http://panel.archive-host.com/lecteur-sik.php?url=http://sd-1.archive-host.com/membres/up/36451924141015147/20090211_gg12h_rmc.mp3

Thursday, November 09, 2006

Proclamation de l'Empereur Napoléon à la Nation Juive !






« Proclamation à la nation Juive Quartier général Jérusalem, 1er floréal, an VII de la République Française (20 avril 1799) Bonaparte, commandant en chef des armées de la République Française en Afrique et en Asie, aux héritiers légitimes de la Palestine : Israélites, nation unique que les conquêtes et la tyrannie ont pu, pendant des milliers d'années, priver de leur terre ancestrale, mais ni de leur nom, ni de leur existence nationale ! Les observateurs attentifs et impartiaux du destin des nations, même s'ils n'ont pas les dons prophétiques d'Israël et de Joël, se sont rendus compte de la justesse des prédictions des grands prophètes qui, à la veille de la destruction de Sion, ont prédit que les enfants du Seigneur reviendraient dans leur patrie avec des chansons et dans la joie et que la tristesse et que les soupirs s'enfuiraient à jamais. (Isaie 35.10) Debout dans la joie, les exilés ! Cette guerre sans exemple dans toute l'histoire, a été engagée pour sa propre défense par une nation, de qui les terres héréditaires étaient considérées par ses ennemis comme une proie offerte à dépecer. Maintenant cette nation se venge de deux mille ans d'ignominie. Bien que l'époque et les circonstances semblent peu favorables à l'affirmation ou même à l'expression de vos demandes, cette guerre vous offre aujourd'hui, contrairement à toute attente, le patrimoine israélien. La Providence m'a envoyé ici avec une jeune armée, guidée par la justice et accompagnée par la victoire. Mon quartier général est à Jérusalem et dans quelques jours je serai à Damas, dont la proximité n'est plus à craindre pour la ville de David. Héritiers légitimes de la Palestine. La Grande Nation qui ne trafique pas les hommes et les pays selon la façon de ceux qui ont vendu vos ancêtres à tous les peuples (Joël 4.6) ne vous appelle pas à conquérir votre patrimoine. Non, elle vous demande de prendre seulement ce qu'elle a déjà conquis avec son appui et son autorisation de rester maître de cette terre et de la garder malgré tous les adversaires. Levez-vous ! Montrez que toute la puissance de vos oppresseurs n'a pu anéantir le courage des descendants de ces héros qui auraient fait honneur à Sparte et à Rome (Maccabée 12.15). Montrez que deux mille ans d'esclavage n'ont pas réussi à étouffer ce courage. Hâtez-vous! C'est le moment qui ne reviendra peut-être pas d'ici mille ans, de réclamer la restauration de vos droits civils, de votre place parmi les peuples du monde. Vous avez le droit à une existence politique en tant que nation parmi les autres nations. Vous avez le droit d'adorer librement le Seigneur selon votre religion. » (Joël 4.20)

Plaidoyer pour ma terre !








Plaidoyer pour ma terre

Herbert Pagani

11 novembre 1975

Hier, j'étais dans le métro et j'entends deux dames dire :"T'as vu encore ces Juifs avec leurs histoires à l'O.N.U.Quels emmerdeurs !"C'est vrai.Nous sommes des emmerdeurs.Ça fait des siècles qu'on emmerde le monde.C'est dans notre nature, que voulez-vous !Abraham avec son D'ieu unique,Moïse avec ses Tables de la Loi,Jésus avec son autre joue toujours prête à la deuxième baffe.Puis Freud, Marx, Einstein,tous ont été des gêneurs, des révolutionnaires, des ennemis de l'Ordre.Pourquoi?Parce qu'aucun ordre, quel que fut le siècle, ne pouvait les satisfaire,puisqu'ils en étaient toujours exclus.Remettre en question, voir plus loin,changer le monde pour changer de destin,tel fut le destin de mes Ancêtres.C'est pourquoi ils sont haïs par les défenseurs de tous les ordres établis.L'antisémite de droite reproche aux Juifs d'avoir fait la révolution bolchévique.C'est vrai, il y en avait beaucoup, en 1917.L'antisémite de gauche reproche aux Juifs d'être les propriétaires de Manhattan.C'est vrai, il y a beaucoup de capitalistes juifs.La raison est simple :la religion, la culture, l'idéal révolutionnaire d'un côté,les portefeuilles et les banques de l'autre,sont les seules valeurs transportables,les seules patries possibles pour ceux qui n'ont pas de patrie.Et maintenant qu'il en existe une,l'antisémitisme renaît de ses cendres...- pardon ! de nos cendres -et s'appelle antisionisme.Il s'appliquait aux individus, il s'applique à une nation.Israël est un ghetto,Jérusalem, c'est Varsovie...Les nazis qui nous assiègent parlent l'arabe.Et si leur croissant se déguise parfois en fauçille,c'est pour mieux piéger les Gauches du monde entier.Moi qui suis un Juif de gauche, je n'en ai rien à faire d'une certaine gauchequi veut libérer tous les hommes du monde aux dépens de certains d'entre eux, car je suis précisément de ceux-là.D'accord pour la lutte des classes,mais aussi pour le droit à la différence.Si la gauche veut me compter parmi les siens,elle ne peut pas faire l'économie de mon problème.Et mon problème est que depuis les déportations romainesdu 1er siècle après Jésus-Christ,nous avons été partout honnis, bannis, traqués, dénoncés, écrasés, spoliés, brûlés et convertis de force.Pourquoi?Parce que notre religion,c'est-à-dire notre culture était dangereuse.Eh oui!Quelques exemples...Le judaïsme a été le premier à créer le Chabbat, jour du Seigneur,c'est-à-dire le jour de repos hebdomadaire obligatoire.Vous imaginez la joie des pharaons, toujours en retard d'une pyramide !Le judaïsme interdit l'esclavage.Vous imaginez la sympathie des Romains,les plus importants grossistes de main-d'oeuvre gratuite de l'Antiquité !Il est dit dans la Bible :"La terre n'appartient pas à l'homme, mais à D'ieu."De cette phrase découle une loi,celle de la remise en question automatiquede la propriété foncière tous les 49 ans.Vous voyez l'effet d'une loi pareille sur les papes du Moyen Âgeet les bâtisseurs d'empire de la Renaissance !Il ne fallait pas que les peuples sachent.On commença par interdire la Bible,puis ce furent les médisances,des murs de calomnies qui devinrent murs de pierreset qu'on appela ghettos.Ensuite ce fut l'Inquisition, les bûchers et plus tard les étoiles jaunes.Auschwitz n'est qu'un exemple industriel de génocide,mais il y a eu des génocides artisanaux par milliers.J'en aurais pour trois jours rien qu'a nommer tous les pogromsd'Espagne, de Russie, de Pologne et d'Afrique du Nord.À force de fuir, de bouger, le Juif est allé partout.On extrapole et voilà : il n'est de nulle part.Nous sommes parmi les peuples comme l'enfant à l'assistance publique.Je ne veux plus être adopté.Je ne veux plus que ma vie dépende de l'humeur de mes propriétaires.Je ne veux plus être un citoyen-locataire.J'en ai assez de frapper aux portes de l'Histoire et d'attendre qu'on me dise : "Entrez."Je rentre et je gueule !Je suis chez moi sur terre et sur terre j'ai ma terre :elle m'a été promise, elle sera maintenue.Qu'est ce que le Sionisme?Ça se réduit à une simple phrase :"L'an prochain à Jérusalem."Non, ce n'est pas un slogan du Club Méditerranée.C'est écrit dans la Bible,le livre le plus vendu et le plus mal lu du monde.Et cette prière est devenue un cri,un cri qui a plus de 2000 ans,et le père de Christophe Colomb,de Kafka,de Proust,de Chagall,de Marx,d'Einsteinet même de monsieur Kissinger,l'ont répétée, cette phrase, ce cri,au moins une fois par an, le jour de Pâques.Alors le Sionisme, c’est du racisme ?Faites moi rire !Est-ce que : "Douce France, cher pays de mon enfance" est un hymne raciste ?Le Sionisme, c'est le nom d'un combat de libération.Dans le monde, chacun a ses Juifs.Les Français ont les leurs :ce sont les Bretons, les Occitans, les Corses, les travailleurs immigrés.Les Italiens ont les Siciliens,les Yankees ont leurs Noirs,les Espagnols leurs Basques.Nous, nous sommes les Juifs de TOUS.À ceux qui me disent : "Et les Palestiniens ?",je réponds : "Je suis un Palestinien d'il y a 2000 ans.Je suis l'opprimé le plus vieux du monde."Je discuterai avec eux, mais je ne leur céderai pas ma place.Il y a là-bas de la place pour deux peuples et deux nations.Les frontières sont à déterminer ensemble.Mais l'existence d'un pays ne peut en aucun cas exclure l'existence de l'autreet les options politiques d'un gouvernement n'ont jamais remis en cause l'existence d'une nation, quelle qu'elle soit.Alors pourquoi Israël ?Quand Israël sera hors de danger,je choisirai parmi les Juifs et mes voisins arabes,ceux qui me sont frères par les idées.Aujourd'hui, je me dois d'être solidaire avec tous les miens,même ceux que je déteste, au nom de cet ennemi insurmontable :le RACISME.Descartes avait tort :je pense donc je suis, ça ne veut rien dire.Nous, ça fait 5000 ans qu'on pense, et nous n'existons toujours pas.Je me défends, donc je suis.Herbert Pagani

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